[Toulouse-ll] Réunion de travail ?

[Bruno Coudoin]

Le samedi 03 septembre 2005 à 13:22 +0200, guillaume pernot a écrit :
> yep,
> 
> Le Vendredi 2 Septembre 2005 22:15, Bruno Coudoin a écrit :
> > > Je viens. J'aimerais qu'on parle de monter une présentation "itinérante" 
> de 
> > > l'état de l'art des logiciels libres pour les petites collectivités 
> > > (<5000ha). Intérêt de la chose ? charge de travail ?
> > > 
> > Je comprend pas bien le truc. 
> > Sur les aspects techniques, un laptop avec ta distrib préféré, ça va
> > pas ?
> > Pour les "<5000Ha" pourquoi cette limite, c'est étrange ?
> 
> veuillez excuser l'abrupt du discours de mon jeune collègue et néanmoins amis 
> jean-christophe. au mieux, cela peut conduire à de l'incompréhension...
> 
> l'idée des "conférences itinérantes" est plus générale : nous aimerions monter 
> des conférences "clefs-en-main" à destination de publiques ayant des centres 
> d'intérets ou des besoins différents.
> 
> le truc, c'est que dans un réseau comme libre-toulouse, chacun amène son tissu 
> relationnel : certains ont des contacts dans l'industrie, d'autres dans les 
> collectivités, d'autres dans le "milieu associatif", etc...
> 
> ce que j'imagine, c'est de partir des publiques accessibles et de construire 
> des (mini-)conférences à leur destination : "le logiciel libre pour les 
> (petites) collectivités" à destination des mairies, "le logiciel libre pour 
> les systèmes embarqués", pour l'industrie aéronautique, "comment je suis 
> restée jeune avec les logiciels libres", pour les salons de coiffures, "trop 
> cools les logiciels libres", pour les clubs informatique des lycées, etc...
> 

Je comprend mieux. C'est un peut comme un livret du libre mais avec des
chapitres pour différents type d'utilisateur. Ca semble intéressant.

> les documents (slides, plaquettes, ...) auront de nombreux points communs, y 
> compris avec le livret du libre, et quelques particularités. l'idée serait de 
> factoriser tout ça et de mettre ce matériel à disposition de ceux qui peuvent 
> organiser des conférences.
> 
OK

> ensuite, pour faire tourner les conférences, il me semble plus facile d'aller 
> à la rencontre d'un publique qu'on connais déjà. c'est pour ça que 
> jean-christophe parlait des collectivités de moins de 5000 habitants : nous 
> connaissons leurs problématiques, nous avons des contacts, etc...
> d'un autre côté, nous ne savons pas comment organiser et mener des conférences 
> pour les lycées ou les amicales pétainistes ("Les logiciels libres sont-ils 
> de bons français ?")
> 
C'est donc la d'ou vient la limite des 5000 habitants. Ca fait bizarre
tout de même pour un groupe à Toulouse de cibler de si petites communes.

> je ne sais pas encore si je pourrais être là le 15, mais peut-être 
> pourrions-nous commencer à débattre là dessus sur cette mailing-list...
> 

J'ai l'impression, (dis moi si je me trompe) que dans l'idée de paksys
vous voudriez, ou vous le faite déjà, présenter le logiciel libre aux
collectivités de moins de 5000 habitants, et c'est une bonne chose.

Je comprend pas cependant plusieurs choses:
- Praxsys à une cible commerciale bien déterminé, qu'est-ce qui vous
  fait penser que des gens du Qjelt, autres que vous, connaissent leurs
  besoins. En quoi, le Qjelt peut aider.
- Une fois terminé, au nom de qui, se font les présentations,
  Praksys ou le Qjelt.
- Si cette présentation et faite avec le Qjelt, elle à pour objectif
  d'aider directement la démarche commerciale de Praksys, il y a, il me
  semble un conflit d'intérêt pour une association.

-- 
Bruno Coudoin
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