[Toulouse-ll] Réunion de travail ?

[guillaume pernot]

yep,

Le Mardi 6 Septembre 2005 22:06, vous avez écrit :
> > ensuite, pour faire tourner les conférences, il me semble plus facile
> > d'aller à la rencontre d'un publique qu'on connais déjà. c'est pour ça
> > que jean-christophe parlait des collectivités de moins de 5000 habitants
> > : nous connaissons leurs problématiques, nous avons des contacts, etc...
> > d'un autre côté, nous ne savons pas comment organiser et mener des
> > conférences pour les lycées ou les amicales pétainistes ("Les logiciels
> > libres sont-ils de bons français ?")
>
> C'est donc la d'ou vient la limite des 5000 habitants. Ca fait bizarre
> tout de même pour un groupe à Toulouse de cibler de si petites communes.

c'est une proposition que nous faisons, car cela fait parti de notre réseau 
relationnel. on ne connait personne dans de grosses communes, mais nous 
imaginons qu'elles ont des besoins informatiques différents : une grosse 
commune peut avoir à gérer des bases oracles, un SGI ou avoir des solutions 
propriétaires existantes pour la gestion de la mairie, genre e-magnus...
une petite mairie est face à des problématiques plus maitrisées : une 
firewall, un serveur de fichiers samba, un serveur mail ...

de toute façon, si dans libre-toulouse, quelqu'un connait les problématiques 
(et, idéalement, des solutions libres) des plus grosses mairies, on pourra 
monter des conférences à leur destination...

>
> J'ai l'impression, (dis moi si je me trompe) que dans l'idée de paksys
> vous voudriez, ou vous le faite déjà, présenter le logiciel libre aux
> collectivités de moins de 5000 habitants, et c'est une bonne chose.

en ce qui nous concerne, oui.

>
> Je comprend pas cependant plusieurs choses:
> - Praxsys à une cible commerciale bien déterminé, qu'est-ce qui vous
>   fait penser que des gens du Qjelt, autres que vous, connaissent leurs
>   besoins. En quoi, le Qjelt peut aider.

nous apporterions le module "mairies de moins de 5000 habitants" aux 
conférences "clefs-en-main". de plus, nous participerions à la rédaction du 
"tronc commun".
les gens du qjelt apporteraient d'autres modules ("écoles", "clubs 
d'aéromodélisme", etc...) et participeraient à la crédibilisation générale 
des solutions libres au travers des conférences qu'ils donnent.

> - Une fois terminé, au nom de qui, se font les présentations,
>   Praksys ou le Qjelt.

la présentation est au nom du qjelt. ce qui n'empeche pas praksys de les 
réaliser.
les documents (slides et autres) sont copyleft qjelt (GNU FDL, par exemple), 
ce qui n'empèche pas le conférencier de laisser sa carte de visite.

> - Si cette présentation et faite avec le Qjelt, elle à pour objectif
>   d'aider directement la démarche commerciale de Praksys, il y a, il me
>   semble un conflit d'intérêt pour une association.

les concurrents de praksys pourront présenter eux aussi les mêmes 
conférences : ce qui nous importe, c'est de donner confiance dans les 
logiciels libres.
très vulgairement, on a un intéret commercial là dedans : arriver devant un 
prospect a priori méfiant à l'encontre les logiciels libres, c'est pénible :(
genre : "je suis contre linux. par principe."

il y a peut-être conflit d'intéret, mais nous n'irons pas bosser chez 
microsoft ou mcdo pour pouvoir défendre le libre sans être en conflit 
d'intéret...

a++