[Toulibre] Bilan du deuxième Qjelt

[Phil's Free]

Bruno Coudoin a écrit :
> Le mardi 04 octobre 2005 à 22:00 +0200, Thierry Boudet a écrit :
> 
>>Thomas Petazzoni <thomas.petazzoni at enix.org> a dit:
> 
> 
>>   Désolé d'être aussi abrupt, mais la promotion du logiciel libre,
>>   c'est vraiment pas ce que j'ai envie de faire, le soir, après
>>   la sortie du travail. Par contre, si il s'agit d'en fabriquer,
>>   du libre(*), je suis partant. Et j'espère renconter dans cette
>>   liste des gens qui veulent bien envisager des soirées ambiance
>>   "die-ard coDer"/confit de canard.
>>
>>
> 
> Il n'est pas en générale le rôle des lug de développer des logiciel. Ils
> peuvent permettre effectivement de créer des synergies et faire naître
> des projets comme abuledu par exemple. Néanmoins, une fois le projet en
> place, le modèle de développement du logiciel libre ne nécessite pas de
> se rencontrer aussi régulièrement, il devient en plus très indépendant
> des activités du lug.
> 
> A mon humble avis, si tu veux faire un projet de développement de
> logiciel libre, cherche ailleurs. La probabilité de trouver à coté de
> chez toi quelqu'un intéressé par le même projet et faible comparé à ce
> qu'Internet peut t'apporter.
> 

Bruno, tu as certainement raison.
J'essaie de bosser depuis de très longs mois avec des toulousains sur un 
projet de logiciels libres ... et ça n'avance guère (ou par à-coups).
Au contraire, cela semble rebuter les développeurs estrangers attirés 
via la toile de voir un noyau dur qui essaie de se réunir physiquement 
régulièrement.

Par contre, si dans un LUG, des spécialistes du matériel, du système et 
des réseaux (des  ingés système purs et durs) voulaient bien donner un 
coup de main à des développeurs d'applications englués dans ce genre de 
problèmes, ce serait sympa.
Dans cette optique, le LUG me paraît utile au développeur sans parler de 
se remonter le moral vis-à-vis du grand public qui ... s'en fout un peu 
trop.

-- 
Phil