[Toulouse-ll] Liste des sites "underground" de logicielslibres

sudrienet sudrienet at hotmail.com
Sam 21 Mai 15:57:17 CEST 2005


Bonjour




merci pour cette grande leçon ... !!




pour l'histoire :

Disons que au cour de la nuit du hack il y avait des mecs comme clad (grand
manitout) crackfr et autres il y avait des bons ... et que certes c'était un
"whitehack" et c'était gentil mais hum le coter obscure n'est jamais bien
loin ......sans commentaire !



bref  à tout cela on peut dire :



Je pense que quelque soit ton âge tu dois avoir une sacré culture
informatique (au plus large du mot) , électronique, mécanique (dmu et
assemblage ) ,mathématique , maîtriser des langues et des langages et avoir
fait une très grande université (mit?) ;etre un specialiste en nanotech ? et
j'en oublie sûrement .... mais cela te dispense pas de ne pas être arrogent
! Et de te meffier car dans tous les cas tu risque de tomber un jour sur
plus fort !




Ici personne à prentendu quoi que ce soit est ce groupe n'est pas à
tendances « techno anarchiste terroriste neo je ne sais pas pas quoi » .
Apres les entités séparées sont libres de faire ce quelles veulent ! Je
voyais plus ce newsgroup comme un lieux d'echange de dialogue du soft libre
et des questions pouvant sy reporter pour les toulousain et les autres .




En clair présice ce que tu souhaites ! Tu cherche un groupes à intégré ? je
te rappelle que pour cela il faut être intégrable! quel est ton but ? Par ce
que nous faire un résumé de l'underground c'est sympat mais c'est quoi le
but ? et quelles sont tes compétences !?




Voilà , en un mot éclaire nous !




merci




----- Original Message -----
From: <theo.boulier at netcourrier.com>
To: <toulouse-ll at libre.humanoidz.org>
Sent: Saturday, May 21, 2005 1:52 PM
Subject: Re: Re: [Toulouse-ll] Liste des sites "underground" de
logicielslibres


Oups désolé, je pensais avoir affaire à des informaticiens !

Les hackers sont nés au sein du MIT : Massachusset Institut of technologie.

"La génération des années 60 : les hackers "old school"
Avant que le terme de "hackers" ne naisse, il y avait les "vrais
programmateurs" (nous noterons que ce terme n'est apparu que dans las années
80). C'étaient les précurseurs de la culture "hacker", et de la fin de la
deuxième guerre mondiale jusqu'aux année 70, ils représentaient la culture
technique dominante dans l'informatique.O n leur doit le développement de
l'informatique interactif et des réseaux.
Une personnalité comme celle de Stan Kelly-Bottle est issue de ce groupe de
précurseurs. Nous noterons que ce dernier avait programmé le Manchester Mark
I, premier ordinateur qui stockait les programmes de façon numérique, en ...
1948.
Cependant, on ne peut réellement parler de "hackers" qu'à partir des années
60 et notamment de 1961, date à lauelle le MIT (Institut de technologie du
Massachussetts) a fait l'acquisition du premier PDP-1.C'est, en effet, la
culture informatique du MIT qui créa le terme "hacker".
La création d'ARPANET en 1969 eu également des conséquences importantes
concernant ce groupe de surdoués de l'informatique. C'éatit le premier
réseau d'ordinateurs transcontinental et à haut débit.Il permit de réunir
les hackers de tous les Etats-Unis en un groupe critique. C'est de cette
époue que datent les premières listes de jargon (la première version du
fichier jargon date de 1973), les premières satires...
Jusque là, nous étions dans une culture informatique du PDP-10. Mais, la
montée d'Unix, invention d'un hacker du nom de Ken Thompson, allait faire de
l'ombre à la tradition culturelle précédente.Unix a pu fonctionner grâce à
l'invention du langage "C" par Dennis Ritchie. Les hackers en firent
naturellement leur environnement de travail privilégié. De plus, Unix
présentait un avantage en possédant son propre protocole réseau m&dash. De
fait, les hackers constituaient un groupe en réseau dans le réseau.
Le premier ordinateur personnel (1975) constitue une autre rupture pour
notre groupe de hackers. Ceux qui s'en saisirent utilisèrent le langage
BASIC.
Les années 80 ou la rivalité des hackers
C'est cependant pendant les années 80 que les hackers s'organisèrent en
véritables groupes de pression et commencèrent à faire connaître au grand
public leurs revendications libertaires pour l'informatique, d'une part, et
identaires, d'autre part. Mais, loin de n'agir que d'une seule voix, les
hackers appartiennent à divers groupes dont il nous a semblé pertinent de
parler.
La grande rivalité des années 80 opposait les défenseurs du système Unix de
Berkeley aux versions proposées par la société AT&T. Plusieurs affiches du
moment représentent un vaisseau spatial de combat en forme de X, non sans
nous rappeler la triologie La guerre des étoiles, très prisée au sein des
hackers, fuyant une Etoile de la mort représentant AT&T.
Autre grande rivalité des années 80 : celle qui opposa le LoD au MoD. Le
LoD, Legion of doom, fondé au début des années 80 était tout d'abord dirigé
par un informaticien expert en systèmes de gestion de télécommunications
COSMOS (Central system for Mainframe operations) portant le pseudonyme de
Lex Luthor. Le LoD fut ensuite aux mains du texan Chris goggan (Eric
Bloodaxe) et de Schott Chasin. Le LoD tenait , parallèlement à ces activités
de hacking, un bulletin clandestin : le loD Technical Journal.
L'éthique de ce groupe, comme celle de l'ensemble des hackers qui se
revendiquent comme étant "purs", est de comprendre le fonctionnement des
machines qu'ils ne connaissent pas. Leur statut de criminels leur est donc
conféré par le fait qu'ils pénètrent illégalement dans des systèmes
informatiques plus que par la nature de leurs actions. Le but de celles-ci
n'étant que très rarement orienté vers la nuisance. Toujours est-il qu'une
guerre éclata entre LoD et MoD. Le Lod était composé essentiellement de
jeunes du Sud, alors que le MoD ( Masters of Deception, Masters of Deceit,
ou encore Masters of Destruction) était new-yorkais. New-York eut raison de
ses rivaux, notamment en s'offrant le luxe de pirater la firme de sécurité
informatique Comsec créée par Goggan en 1991. Cela lui valut de dures
représailles : le LoD livra des preuves des activités illégales de piratage
informatique du MoD au FBI...
Certains ont vu dans cette querelle une vieille rivalité Nord/Sud, d'autres
une concurrence exacerbée d'experts...Il n'en demeure pas moins qu 'une
bonne partie de ces jeunes gens, qui n'avaient pour la plupart pas touché un
sou de leurs activités, furent condamnés à de sévères peines.
Autre groupe de hackers typique de ces années 80 : les membres du Chaos
Computer Club (CCC), organisation allemande créée en 1981 qui dénombre
aujourd'hui plus d'un millier d'adhérents. Son fondateur, un certain Dr Wau
(Herwart Holland-Moritz de son vrai nom), a conduit le groupe vers un nombre
imprssionnant d'activités de piratage. La première constituait, en 1984, en
un détournement de fonds de la banque Sparkasse: 100 000 DM en une nuit.
Mais l'argent est restitué dès le lendemain matin. En 1987, le CCC
s'en prend à la NASA. Les actions de ce groupe ont pour simple objectif de
faire prendre conscience aux utilisateurs informatiques de la fragilité de
leurs systèmes. Nous pourrions également ajouter le goût du risque et du
défi, la fierté qui émane d'une action réussie...Quoi qu'il en soit le CCC,
comme beaucoup de groupe de hackers i se revendiquent comme authentiques,
n'a pas le sentiment d'être une nuisance pour la société. Bien au contraire,
les hackers qualifiés de "purs" s'érigent en "chevaliers
blancs" menant une croisade pour une meilleure connaissance de la machine au
service de l'homme. Peter Glaser, un membre du CCC, nous dit, de fait :
"L'homme est au centre d'intérêt du CCC et non la machine".
Les années 90 : "communautés virtuelles" et hackers solitaires
Les années 90 marquent un tournant dans la mesure où les groupes de pression
de hackers que l'on connaissait jusqu'à maintenant ont tendance à
s'institutionnaliser (et leurs leaders avec, par la même occasion), alors
que de nombreux cas de hacking en solitaire éclatent au grand jour (nous
noterons que ces derniers existaient déjà, mais étaient peut-être moins
médiatisés).
Le cas du groupe EFF nous paraît tout à faitt révélateur de la tendance
précédemment énoncée. The Electronic Frontier Foundation fait partie de ces
associations, ces groupes, ces "communautés virtuelles" qui mènent une
croisade pour préserver la liberté, la créativité le bénévolat et le
désordre qui caractérisent internet. Ce groupe est né suite à l'arrestation
infondée de Mitch Kapor et Perry Barlow par le FBI( opération
"Sundevil").Tous deux décidèrent de créer un organisme charger de "civiliser
le
cyberspace" et éviter que des hackers ne soient arrêtés sans raison valable.
Nous noterons que le nom du groupe n'a pas été choisi par hasard, il fait
référence à la conquête de l'Ouest, élément fondateur et quasi mythologique
des Etats-Unis.
Leur première victoire (l'acquittement de M. Graig Niedorf) avait pour but
d'établir une distinction entre les diverses formes de hacking: exploit
gratuit ou escroquerie et vandalisme. EFF a également soutenu, en 1995, M.
Jake Baker, étudiant du Michigan qui avait été mis en prison pour avoir
affiché sur internet des textes où il décrivait ses fantasmes sexuels. David
La Macchia, étudiant au MIT qui s'était procuré illicitement des logiciels
de jeu et de publication assistée par ordinateur (PAO)encore
inédits, doit lui aussi son acquittement en décembre 1994 à l'action du EFF.
D'autres cas peuvent être cités, comme le soutien apporté à Steve jackson ou
encore à daniel Bernstein.
Mais le grand public retient surtout les actes de piratage de personnalités
isolées qui sont idôlatrées par bon nombre de jeunes hackers. Comment ne pas
évoquer la personnalité de Kevin mitnick ? D'autres, moins connus, peuvent
être également évoqués. Leur âge est souvent souligné, leur précocité les
érigeant souvent au rang de génie. A titre d'exemple, nous parlerons donc de
Kevin Poulsen, connu pour ses prises de contrôle répétées des lignes
téléphoniques de la société Pacific Bell. Ce dernier a, en
outre, gagné une porsche à un concours radiophonique en manipulant les
lignes pour être sélectionné. Cela lui a valu de purger une peine de 5 ans,
peine la plus longue affligée à un cracker aux Etats-Unis jusqu'à
maintenant. Autre exemple, celui de Sarah Flannery. Cette irlandaise de 16
ans a inventé au début de l'année 1999 un nouvel algorithme de cryptage des
données, le code"Cayler purser".
Les hackers des années 90 cachent donc une réalité hautement disparate. Ce
que nous retenons sera surtout la querelle de légitimité entre une
génération des années 60 qui est dorénavant très souvent acquise à la
légalité et un groupe de jeunes des années 90 toujours confiné dans la
clandestinité. Le congrès Defcon, tenu à Washington, et organisé par Dark
Tangent témoigne du désir de l'ancienne génération des hackers à s'inscrire
dans la légalité et à coopérer avec les autorités (autorités d'ailleurs
elles-
mêmes de plus en plus intéressées par ces activités informatiques
souterraines. Voir les hackers et la guerre du golfe). Autre témoignage de
l'abandon des pratiques illégales par les hackers "old school" : les propos
tenus par Chris Goggan, au moment où il décidait de quitter la scène hacker
en abandonnant la rédaction de son magazine Phrack, en septembre 1996 : "je
n'aime pas la plupart d'entre vous, les gars. La sub-culture des hackers est
devenue une caricature de son passé (...)La communauté a dégénéré.
C'est devenue une farce nourrie par les médias.".

LA CULTURE CYBERPUNK DES HACKERS

Les hackers ont leur propre culture, comme n'import quelle autre communauté
(puisque nous pouvons considérer que les hackers forment une "communauté
virtuelle"). Initialement, c'est plutôt la culture baba-cool ou hippie qui a
imprégnée nos cyberpirates. Mais, c'est le mouvement cyberpunk qui a donné
toutes ses lettres de noblesse à cette culture.
Le mot "cyberpunk" renvoie à deux concepts : "cyber", tout d'abord, désigne
la cybernétique (art de gouverner), et de là les NTIC; "punk", quant à lui,
renvoie au mouvement de contre-culture qui porte son nom. Comment est-on
passé du rejet pessimiste de toute technologie par les punks des années 70 à
la conception libératrice des nouvelles technologies"

Quand aux White hackers , peut-être ne connais-tu pas
http://www.nuitduhack.com/

Quand ils sont passé entre autre à Toulouse :
http://www.nuitduhack.com/index.php?page=2004

Mais je ne fais pas faire votre culture à de si grands "informaticiens".








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